Vers des mobilités agiles et durables

Sur le territoire, les transports représentent 30% des consommations énergétiques, 43 % des émissions de gaz à effet de serre, 50 % de la facture énergétique avec 148,5 M€ de dépenses.

Travailler sur l’échelle pertinente du territoire (échelle du bassin de vie et pas seulement sur le périmètre géographique) la structuration des mobilités s’impose à nous.

Proposer une offre de transport multimodale organisée autour des transports en commun est indispensable.

• Qu’il s’agisse de déplacements urbains ou péri-urbains, les citoyens ont des besoins en déplacement de plus en plus variés. Entre ville-centre, communes urbaines de couronne, territoires résidentiels périphériques, espaces ruraux, chaque secteur de l’agglomération a ses spécificités. Chaque mode de déplacement à son champ de pertinence dans ces secteurs : un mode ne peut à lui seul répondre à tous les besoins de mobilité, les solutions ne peuvent être partout les mêmes.
• La multimodalité implique une bonne complémentarité et une bonne articulation des différents modes. Il est également opportun de mettre en œuvre des mesures associées permettant d’améliorer l’efficacité des infrastructures et la complémentarité entre les différents modes (véhicules partagés, requalification multimodale des voiries, tarifications intégrées, nouveaux outils de communication, services numériques à la mobilité...).
• Organiser et développer de nouveaux services, venant s’ajouter aux modes de transports existants. Tous sont complémentaires et répondent à une demande croissante de flexibilité : bus, train, autopartage, vélo, covoiturage…